dimanche 29 novembre 2009

vendredi 27 novembre 2009

Barbara

Au XIXe Siècle , vers 1889 peu de temps après l'histoire de Jacque L'éventreur , Des crimes toujours aussi ignobles furent accomplis . Nous suivrons l'histoire de cette jeune fille Barbara.... Barbara se baladait tranquillement en fin d'après midi d'hiver , la nuit était tombée , elle rentrait de son lycée , le sourire aux lèvres , en chantonnant une douce mélodie de Noël. Malgré son doux sourire , sa gentillesse , et sa joie de vivre , ce n'était pas son jour . En marchant , sa chaussure d'écolière se fendit en deux au niveau de la semelle . Elle décida de marcher pieds nu. Plus loin, pas plus d'une centaine de mètres , elle se coupa le pied avec un morceau de bouteille d'alcool. Un homme avait du la laisser là. D'ailleurs il était même allonger à coté de la bouteille. Barbara en tant que gentille jeune fille , alla demander si le monsieur avait besoin de manger . Non, répondit-il. Il sentait l'alcool à plein nez. Prudente , elle repartit , repensant à sa mère qui lui avait toujours dit de ne pas parler aux inconnus. Elle repartit donc sur le chemin qui menait à sa demeure . Regardant derrière elle , elle vit très distinctement ce même homme sous un réverbère qui marchait en sa direction . Ainsi elle compris rapidement qu'il la suivait. Le stress commençait à monter , Elle prit un pas plus rapide , dans l'état ou il était , il ne pouvait pas aller bien loin. Malgré cette pensée , elle se mit à courir à toute jambes dans une ruelle très longue et étroite . Essoufflée par son Asthme , et à bout de force , elle s'allongea et ferma les yeux pendant quelques secondes histoire de ne pas tomber . Grave erreur. Elle s'endormit pendant plus de 12h et se réveilla dans une cage où elle ne pouvait même pas se mettre debout. Enfin , déjà aurait-il fallu qu'elle puisse se lever. Une douleur atroce se dégageait de ses épaules, ou plutôt de ses bras. Elle ouvrit ses yeux. Ses bras ?! Comment pouvait-elle avoir mal aux bras ? Elle n'en avait plus ! Elle regarda le plafond. Sans se poser de questions , elle versa une larme en murmurant "Grave erreur". Elle regarda encore ses épaules . Il n'y avait pas de sang , pas de chair ignoble qui ressortait comme dans les films d'horreur. Non il y avait juste un trou.Elle fini par se relever une fois les jambes engourdis à force de se plier à l'étroitesse de la cellule. Elle vit entre les barreaux , une chose qui lui fit un énorme choc. Ses bras étaient enfermés eux aussi dans une petite cage blanche. Elle voulu les attraper étant donné la petit distance qui les séparaient , mais sans bras , difficile de les attraper. Qu'elle torture agaçante. Elle aurait préféré qu'on la tue instantanément. Apres plusieurs heures de débats contre sa cage , elle tomba essoufflée , elle a désormais un souffle . Le mal que lui produisait sa respiration était une torture de plus . A ce stade , une torture de plus ou de moins , on ne remarquera pas. Les larmes coulaient , plus de souffrance que de tristesse. Au bout du deuxième jour d'emprisonnement , un homme apparu dans la salle vide contenant la grande et la petite cage. Elle regarda les yeux entrouverts , éblouis par la lumière. Cet Homme était grand , beau , fort , avec de petites oreilles , les cheveux d'un noir ébène , avec les pointes bleues. Une cicatrice traversait littéralement le milieu de son visage . En regardant mieux on pouvait voir nettement que cette cicatrice allait d'une joue à l'autre en passant par le nez. Le nez qui n'existait presque plus . Qu'elle vision , d'horreur pour une jeune fille comme Barbara. L'homme s'approcha d'elle plutôt rapidement. Il prit deux barreaux entre ses mains , la fixa , son visage si prêt du sien . Il commença à parler: "Ta maman ne ta jamais appris à ne pas parler aux individus qui te sont inconnus ? Ma pauvre , regarde toi , dans quel état cette petite faute de générosité a pu te mettre. Pauvre de toi. J'en pleurerais . Enfin si tu veux sortir , car comme on dit , quand on veux on peux, oui tu peux sortir si tu en as envie. Seulement moi je ne vais pas t'aider. Je vais te trouver plusieurs clients , des hommes bien sur . Ils pourront faire ce qu'ils veulent de toi. Seulement si tu veux partir il faudra bien les convaincre de faire une telle chose. Et aussi il faudrait qu'ils te rendent tes bras . Sur ce je te laisse , un premier client attends patiemment de faire ta connaissance. Un jeune homme blond du nom de Hervelin entra. Un charmant jeune homme , à l'allure timide pourtant impressionnante. Barbara pleura , ainsi elle devait se prostituer. Le jeune homme se déshabilla doucement , d'une manière hésitante il s'approcha de Barbara. Il ouvra la cage la pris dans ses bras . Elle était sans forces , complètement désemparé et se laissait faire. Il l'allongea avec grand soin sur une couverture des plus moelleuse , et la désabilla toujours d'un ai hésitant. Il caressa longuement sa peau d'une douceur exquise , et fini par l'embrasser. Elle était pour lui comme un grand cru où l'on pouvait sentir , une fois terminer de le gouter , un gout fruité qui nous donnait envie d'en reprendre. Elle fut si bonne que Hervelin ne s'en passa plus . Tous les jours il venait la voir , prendre son pied . Il était le seul. Tous les autres étaient effrayés à la vue d'une jeune fille sans bras. Ils s'enfuyaient tous en courant . Barbara en était pas moins soulagée. Elle commençait à s'attacher à Hervelin . Le seul garçon qu'elle avait pu voir en 4 ans , elle en tombait maintenant amoureuse. Le jour ou elle se décida à lui parler arriva . Hervelin entra , se déshabilla , la pris , l'allongea , la regarda , elle parla : " Hervelin ..." une larme coula sur sa joue rosée. Le jeune homme s'arrêta net , la regarda et répondit "Oui ? -Emmènes moi ... " Hervelin fut tres surpris par cette demande , ses sentiments envers cette jolie Barbara avaient évolués. -" Je ne peux pas! -Pourquoi , tu viens bien me voir chaque jours , et chaque jour tu prends soins de moi. -Mais , je ne peux pas , je t'aime ainsi , dans cette salle , tu es mon jouet et je t'aime énormément , mais si je t'enmene tu seras libre et je te perdrais . Non je te laisse ici. " Barbara n'en revenait , je t'aime , puis tu es mon jouet. La jeune fille pleura autant qu'elle le pouvait , pendant un temps inconnu. Hervelin passait de façon moins fréquente mais toujours régulière. Et toujours Barbara pleurait. Ce quotidien des plus horrible continua jusqu'à un jour , où Hervelin n'est pas venu. Il n'est plus du tout venu. Au bout de 4 semaines de solitudes , 4 hommes entrèrent violemment dans la pièce, Armés de la tête au pieds. Ils accoururent vers la demoiselle , et lui avouèrent qu'elle était libre. La police ? Oui effectivement. Elle partit en ambulance accompagnée de ses bras. On les lui remit. On lui expliqua bien des choses. Ses parents étaient décédés , quelques mois après son enlèvements , il furent assassinés . Comment avait-elle été retrouvée ? Grâce à un testament d'un certain Hervelin. Il était lui aussi décédé il y a prêt d'un mois . Il parlait d'une femme prostitué de force nommée Barbara . Barbara pleura . Il ne l'avait donc pas abandonné intentionnellement . Elle ne voulait plus rien écouter. Elle pleura toutes les larmes de son corps. Soudain , La dame qui lui avait ainsi tout expliqué , frappa contre la table. "Mademoiselle regardez moi , Il aurait pu léguer ses biens et sa maison à sa femme, mais il les à légués à vous ! Vous avez désormais un logement , quelques milliards sur votre compte , et une vie à tracer." Elle alla donc vivre dans la maison de son amour perdu. Elle découvrit un des plus beau manoirs qu'elle avait jamais vu. en rentrant dans se manoir , elle fut arrêtée dans son élan , par une douleur atroce au cœur , elle baissa les yeux , et vit un poignard enfoncé dans son thorax et le poignard tenu par une dame inconnu à ses yeux... La Dame parla : "Petite salope , tu me vole mon mari , mais aussi ma maison ,et mon fric ... Vas au diable !"

dimanche 22 novembre 2009